Souhaitez-vous des conseils actuels concernant le jardin ?
Inscrivez-vous à notre newsletter et profitez de 10% de réduction sur votre prochaine commande dans le shop infomaison.
Nous vous donnons chaque mois les dernières informations pour votre potager, votre verger, votre jardin d'agrément et votre balcon.
Au mois de juillet, le potager est en pleine effervescence. De nombreuses plantes ont formé leurs fruits, qui sont mûrs pour la récolte. Pour certaines plantes utiles, comme les concombres et les courgettes, une récolte régulière des fruits augmente le rendement. Par ailleurs, les fruits plus petits sont souvent plus doux et ont moins de pépins que ceux restés sur la plante plus longtemps. Il est conseillé de vérifier les plantes tous les 2 à 3 jours. C’est également à cet intervalle qu’il faudrait récolter les haricots nains. Profitez en outre du moment de la récolte pour consolider les plants. Pour ce faire, formez un petit monticule de terre atour de chaque plant. Les haricots nains ont ainsi une meilleure tenue et les gousses ne reposent pas directement sur la terre.
Au mois de juillet, les fruits rouges, les fruits sauvages et les premiers fruits à noyau arrivent à maturation. Si vous avez trop de baies, vous pouvez surgeler ou confire l’excédent, tout en sachant que c’est fraîchement cueillies qu’elles ont le meilleur goût. Il vaut la peine de faire un tour de cueillette des baies tous les deux jours, pour savourer les fruits bien mûrs. Vous pouvez enrichir votre Birchermüesli avec des baies d’amélanchier et des figues précoces. Il semblerait que nous puissions cette année compter sur une importante récolte de cerises. Dénoyautées, elles peuvent être facilement séchées, mises en bocaux ou préparées en délicieuse confiture. Si vous avez le temps, vous pouvez tester une spécialité de la région de l’Oberland bernois : pour la « Chirschmues » (compote de cerises), la masse de cerises réduite en purée est finement tamisée, puis le jus épaissi après plusieurs heures de cuisson.
Les roses sont toujours considérées comme des plantes compliquées et têtues. À tort : si la bonne variété est plantée au bon endroit, les roses peuvent procurer un plaisir durable. Ce qu’elles n’apprécient toutefois pas du tout, c’est une chaleur ardente. Aux endroits ensoleillés, devant un mur par exemple, les roses tombent malades et se fanent rapidement – à quelques exceptions près. Deux rosiers grimpants ne craignent nullement la chaleur : la variété « Sympathie », aux fleurs rouge clair, et la « Santana », aux fleurs rouge profond, préfèrent les endroits chauds. Leurs fleurs se déploient en éventail comme la robe pourpre d’une danseuse de flamenco. Parmi les rosiers à fleurs en bouquets, on recommande les rosiers floribundas, comme le rosier paysager « Bonica 82 », qui résistent bien à la chaleur. Seul un été caniculaire aura raison de sa noblesse. Dans les jardins proches de la nature, on choisit volontiers le rosier des chiens (Rosa canina) indigène. Le rosier à feuilles rouges (Rosa glauca) est également très résistant. Tous deux ne fleurissent cependant qu’une fois par année, au début de l’été.
Alors que tous les autres arbustes d’ornement sont fanés depuis longtemps, le céanothe (Ceanothus x delileanus) déploie tous ses charmes : sa période de floraison de juillet à octobre rend ce petit arbuste particulièrement attrayant sur une terrasse. Sa hauteur moyenne ne dépassant pas 1,5 m lui permet d’avoir sa place même sur les balcons citadins. Outre la variété bleue, il existe aussi une variante rose (C. x pallidus). En hiver, les branches du céanothe peuvent geler en profondeur. Toutefois, comme l’arbuste est de toute façon taillé au ras du sol au printemps, cela n’a pas une grande importance. Dans les régions particulièrement froides, il est conseillé de recouvrir les racines d’une épaisse couche de feuilles pendant la saison froide et de protéger le pot du gel avec un non-tissé.
Inscrivez-vous à notre newsletter et profitez de 10% de réduction sur votre prochaine commande dans le shop infomaison.